Les étranges personnages de la douceur du temps,
Caressent le clignement de tes paupières.
La ligne miraculeuse de ton sourire aspire mon souffle,
Le vent balaye l’ombre de tes cheveux sur le sable
Le bleu de mer s’étend de l’infini à l’horizon de l’écume.
Un enfant joue sur ton épaule à peine découverte,
Son rire éclabousse les anges aux voiles du port lointain.
A genoux sur le quai aux claquements des lattes de bois
Je prie au silence de tes bras le repos de mon âme.
Des vers qui nous bercent comme les vagues de la mer...
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