Immense complainte aux confins de l’horizon, descendant les alizées sous le claquement de la toile, l’écume en poupe jaillissante, le vol des albatros suspendu aux élingues du mât ; sensation douce de l’iode fixée sur mes paupières, je pense à la dentelle de tes lèvres sur ma peau. L’océan balaye mes envies de toi et avive l’eau de mes larmes.
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