Au festin de l’amour étendu
Le satin de ta peau répandu.
L’horloge imprime les heures
Au cadran distillent les leurres.
Le bleu de tes veines cadence
Le temps d’une confidence,
La rosée aux commissures
Liée de l’extase en démesure,
Irrigue le rouge à lèvres
Carmin d’une once de fièvre.
Les anneaux de saturne
Embrasse la lune diurne.
Le Zip froisse les draps
D’un raccord sparadrap.
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